Pièce unique

Kimono japonais de cérémonie Ayaka

139.00

Ce modèle de kimono est une petite perle importée du Japon. Fait de soie rose, il est d’un raffinement inégalé.

Il a été sélectionné par Miu pour le tableau japonais traditionnel qu’il représente : un pont parsemé de dalles et de fleurs au dessus des eaux.

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Description

Ayaka, le kimono en soie au pont de fleurs

Ce kimono en soie du Japon est un modèle unique créé sur mesure pour son précédent acheteur. Il s’agit d’un iro-tomesode, c’est-à-dire un kimono formel porté par les femmes mariées comme non-mariées lors de cérémonies très officielles. C’est pour cela que les manches sont particulièrement longues. Ce kimono comporte des boutons-pression à l’arrière du col pour bien le maintenir en place.

De plus, ce kimono rose comporte plusieurs « mon » (emblèmes familiaux). Cela le rend d’autant plus formel.

Il a la particularité d’avoir une doublure intérieure entière, nommée hyoku. C’est un second vrai kimono de soie blanc est cousu en dessous, les deux sont maintenus ensemble. L’ensemble du kimono en soie est donc plus lourd. Néanmoins, ce second kimono blanc peut être enlevé si besoin.

Les différences de couleurs sur ce kimono pour femme sont obtenues grâce à la technique du yuzen. Similaire au batik, il s’agit de l’application d’une pâte de farine de riz ou de soja qui permet de teindre tout le reste du tissu mais en gardant ces endroits impénétrables par la teinture. Ces parties restent blanches et peuvent ensuite être peintes à la main.

Son tissu a une couleur vieux rose très élégante et composé de motifs floraux de soie damassée ton-sur-ton. Il date de l’ère Showa (1926-1989).

Les motifs sont typiquement japonais. Les fleurs sont des chrysanthèmes, qui sont réputées, estimées en Asie et sans connotation négative. Le pont comporte des patterns de segaiha (vagues conceptualisées) et de kikkou (carapaces de tortues conceptualisées). Il est orné de dorure appliquées à la main.

Des pétales de chrysanthèmes sont brodés au fil d’or à la main par un artisan japonais.

Les plus du kimono en soie japonais Ayaka

  • Le tissu en soie ;
  • La broderie au fil d’or fait main ;
  • La peinture sur soie fait main,
  • Les papiers dorés appliqués à la main ;
  • La technique du yuzen appliquée à la main
  • Le tableau qui orne le kimono et se succède malgré les coutures ;
  • Les 3 emblèmes familiaux à l’arrière du kimono ;
  • Le pattern en soie damassée irisée sur tout le tissu ;
  • Le second kimono blanc de soie.

Pourquoi choisir un kimono pour femme vintage ?

Acheter un vrai kimono en soie vintage revient à acquérir un bout d’histoire japonaise. Cela mène à consommer de façon éco-responsable des vêtements ayant vécu plusieurs décennies, faits de matériaux naturel, mais également d’avoir une tenue historique de qualité à moindre coût.

Pour être plongé dans l’univers de la fabrication artisanale d’un vrai kimono en soie, voici une vidéo qui retrace tout de A à Z : la teinture traditionnelle, la peinture sur soie, les coutures à la main, l’application des dorures ou encore les broderies.

Comment porter ce kimono en soie?

A l’occidentale : on peut enfiler ce kimono pour femme comme veste au dessus d’une tenue moderne ou le mettre en tant que pièce de lingerie. Il saura remplacer les robes de chambre plus classiques.

De façon japonaise : on peut le porter de manière traditionnelle et consensuelle ou le moderniser avec des jupons, des accessoires ou des cols.

Condition de ce kimono rose

Il s’agit d’un kimono japonais vintage ayant vécu plusieurs décennies. Pour un vêtement de cette catégorie, il est en très bon état. Il peut exister de petites tâches discrètes sur le bas (qui se mélangent dans le motif) ou sur la doublure (le second kimono blanc) dont vous pouvez trouver des exemples des défauts dans les 3 dernières photos. La peinture dorée originellement présente sur le kimono au niveau des motifs s’est altérée avec le temps mais cela ne jure pas et crée un panachage de soie et de d’or. Globalement, les défauts sont invisibles.

Pourquoi est-il tâché ? Traditionnellement, on ne doit pas laver un vrai kimono en soie soi-même sous peine de l’abimer. Au Japon, certains propriétaires de kimono passent pas des maîtres qui désassemblent, lavent, puis réassemblent les pièces. La plupart des propriétaires se font aux petites défauts. En France, certains magasins conseillent de laver les kimono japonais en soie grâce à un nettoyage à sec uniquement. Mais cela n’est pas une pratique japonaise.

Svp, veuillez noter qu’un vrai kimono pour femme (extérieur + intérieur) demande 6 mètres de tissu, il est donc possible que de petits détails nous aient échappé. Nous vous remercions de prendre cela en compte avant achat.

Egalement, il est important de savoir que la soie est un tissu organique. De la même manière que le cuir, les habits vintage fait de soie peuvent avoir une légère odeur. Mais aucune inquiétude, en exposant votre kimono en soie à l’air libre quelques semaines (en le mettant sur le dossier d’une chaise par exemple), ces odeurs s’en iront d’elles-mêmes.

Notre sélection Grain d’Opium

Pour choisir ses kimono, Miu étudie individuellement chaque pièce avant de les faire venir du Japon. Elle sélectionne un vêtement pour son originalité, pour la qualité de son tissu, de ses détails et met de côté les habits ayant de trop gros défauts.

Informations complémentaires

  • Composition du kimono :

    Extérieur soie
    Doublure (second kimono) soie

  • Décennie de production estimée :

    1980

  • Couleurs:

    Extérieur : vieux rose/rose saumon
    Intérieur : blanc

  • Mesures :

    Longueur manche – colonne vertébrale (yuki) : 63 cm
    Largeur des manches (sodetake) : 55 cm
    Longueur (mitake) : 165 cm

  • Poids :

    1,5 kg

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